Cela faisait plusieurs mois que les choses n ‘allaient plus entre moi et mon épouse .Celle-ci était tombée amoureuse d’un bellâtre et depuis j ‘étais devenu gênant dans la conduite de ses amours naissantes. Elle désirait divorcer et refusait désormais de coucher avec moi . Elle ne faisait que m ‘humilier devant ses amies lorsque ces dernières venaient lui rendre visite à notre appartement .
Ma femme était Mauricienne , d ‘origine Indienne et de religion Hindoue . Elle n ‘était pas très grande mais elle était jolie . A 42 ans , elle faisait beaucoup moins que son âge . Sa peau marron claire , ses grands yeux de braise légèrement effilés en amande , sa longue chevelure noire , son exotisme ne laissait pas les mâles indifférents . Elle était très féminine et savait parfaitement se mettre en valeur , petite jupe courte et bien moulante sur son joli petit cul tout rond , petite culotte de soie , bas et porte – jarretelles , chaussures à talons hauts , soutien-gorge balconnet , la salope savait s’y prendre pour exciter les hommes . Mon ex beau-frère ne faisait pas exception à la règle et je savais qu ‘il la draguait n ‘hésitant pas , lorsqu ‘il se retrouvait seul en compagnie de ma femme , à lui faire des avances à peine dissimulées . Je savais aussi qu ‘ils se rencontraient parfois dans la rue et qu ‘ils passaient de longs moments à discuter . Certainement , il tentait d’avancer ses pions pour parvenir à ses fins et elle devait certainement me mettre plus bas que terre devant lui .
Finalement ce qui devait arriver arriva . Ma femme avait toujours aimé faire l ‘amour et forcément depuis qu ‘il ne se passait plus rien entre elle et moi , elle était en manque . Et les masturbations qu ‘elle se prodiguait en solitaire ne suffisaient pas à calmer ses besoins sexuels .
A cette époque , mon épouse travaillait dans une maison de retraite de la ville où nous vivions . Un soir , sortant de son travail , il pleuvait dru , ma femme avait oublié son parapluie chez nous . Elle allait devoir rentrer à pied à la maison sous une pluie battante et s’apprêtait à se faire tremper . Mais ,c ‘était sans compter sur la bonne âme qu ‘était mon ex beau-frère . Sachant où elle travaillait et voyant qu ‘il tombait des hallebardes , il était venu l ‘attendre avec sa voiture à la sortir de son boulot . Bien évidemment , il avait une petite idée bien cochonne derrière la tête . La voyant apparaître , il klaxonna . Ma femme se retourna et l ‘aperçue . Il lui faisait de grands gestes de l ‘intérieur de la voiture . Elle s’approcha de l ‘engin . Il ouvrit la portière et lui dit :
-” Je passais par là , j ‘ai vu qu ‘il pleuvait fort alors je me suis dit que je ne pouvais pas laisser rentrer à pied , sous une telle pluie , une jolie femme . Monte , je te ramène chez toi . ”
Ma femme n ‘était pas née de la dernière pluie , c ‘est le moment de le dire , elle comprit tout de suite ce que l ‘homme désirait . Finalement , elle se dit qu ‘elle n ‘était pas contre un bon coup de bite , cela ne se refuse pas surtout si l ‘on est en manque , et puis enfin elle serait à l ‘abri de la pluie . Ce fut donc avec un grand sourire qu ‘elle prit place sur le siège passager de la voiture . En montant , elle fit bien attention à légèrement remonter sa jupe , déjà bien courte , et à écarter les cuisses de façon à ce que Jean-Pierre , c ‘est ainsi que se prénomme mon ex beau-frère , put admirer ses cuisses , un bout de sa petite culotte blanche et le fait qu ‘elle portait des bas et un porte-jarretelles . Durant le trajet , Jean-pierre , jetait régulièrement des regards à la dérobée sur les charmes apparents de mon épouse . Il n ‘en pouvait plus . Parvatee , le prénom de mon épouse , remarqua bien vite qu ‘il bandait fort . Une énorme bosse déformait l ‘avant de son pantalon . A un moment , Jean-Pierre prit une direction opposée à celle de notre appartement . Il se dirigeait maintenant vers une forêt proche de notre petite ville , forêt connue sous le nom de ” Forêt de Rougier ” . Lorsqu ‘ils furent arrivés à cet endroit , il arrêta la voiture dans un chemin forestier . Il n ‘y avait pas âme qui vive . Se jetant alors sur ma femme , Jean-Pierre entreprit de la peloter et passant une main entre ses cuisses il commença à lui branler la moule à travers sa petite culotte .
-” Ah , Jean-Pierre mais que faites -vous ? Arrêtez voyons , je suis une femme mariée , je ne suis pas une vulgaire putain que vous pouvez trousser à l ‘avant de votre voiture . ”
-” Ah, mon dieu , Parvatee , je n ‘en peux plus , j ‘ai trop envie de vous . Vous êtes trop belle . Je ne fais que me branler en pensant à vous , à votre trou d’amour . Je vous en prie , laissez – moi faire , laissez-vous faire . Je vous aime . Tenez , regardez , je vais vous montrer mon zizi et ensuite vous me laisserez voir votre zézette .”
Aussitôt dit , aussitôt fait . Jean-Pierre sorti sa bite et ses couilles . Il faut tout de même le dire , ma femme m ‘avoua que le salaud avait un sacré morceau dans le slibard .
-“Ah , Jean-Pierre , ce n ‘est pas possible , vous me montrez votre sexe . Mais non , il ne faut pas . Ah , je vous en prie , je suis une femme honnête , je ne suis pas une femme facile . ”
Pendant ce temps , Jean-Pierre avait repris le pelotage de ma femme , il avait maintenant passer sa main sous la petite culotte et d’un doigt expert il avait entreprit de doigter mon épouse . Après avoir fait faire quelques allers-retours à son doigt dans la chatte de Parvatee , il le retira et le porta à ses narines pour en renifler toutes les senteurs intimes . Ensuite , il parvint à emballer mon épouse . Pendant que leurs langues se mêlaient , Jean-Pierre ôtait la petite culotte de ma salope de femme . Il mit alors le siège en position couchette et monta sur la belle . Avec deux doigts , il écarta la moule imberbe de celle-ci (depuis plusieurs années ma femme se rasait le vagin , elle trouvait cela plus hygiénique ) . Jean-Pierre pouvait maintenant admirer la belle fente toute rose qui se détachait sur la peau marron de Parvatee . Cette vue l ‘excita encore plus . Prenant sa bite dans sa main droite , il la frotta le long de la fente et lorsqu ‘il trouva l ‘entré du trou menant à la grotte intime de ma femme il enfonça sa bite de tout son long dans le xes féminin brûlant qui s’offrait à lui .
-Aaah , cria -t-il , c ‘est chaud , c ‘est bon , c ‘est tellement bon . Putain , je me trempe la pine dans ta mouille de salope exotique . Tu es rudement bien serrée en plus . Ah , je te ramone la cheminée , sale pute . ”
Ma femme gémissait elle aussi sous les coups de bite qu ‘elle prenait . Elle sentait la pine de son ex beau-frère qui remuait en elle et qui allait finir par lui pisser son foutre dans le ventre . Elle entendait les clapotis que faisait le zob en allant et venant dans sa chatte trempée . Le mâle , les mains accrochées à son cul , la ramonait de plus en plus vite , de plus en plus fort . Elle comprit qu ‘il ne pourrait bientôt plus se retenir , qu ‘il allait assouvir son désir et l ‘inonder de sa semence . Effectivement , Jean-Pierre n ‘y tenant plus s ‘effondra sur mon épouse en hurlant :
-” Ah salope , c ‘est trop bon , je viens , je sens qua ça vient , serre -moi sale pute , serre-moi que je jute fort en toi . ”
Ce que fit Parvatee . Elle resserra les jambes autour de l ‘homme . Celui-ci ne put alors plus se contenir .
-” Aaaaah , je jute , ça y est je jute , ça y est tout pars . Je jute dans ton ventre de pute Mauricienne . Je pisse tous mes spermatozoïdes dans ta grosse chatte .”
Parvatee sentit le sperme bouillant lui traverser le ventre . Elle aussi ne put se retenir . L ‘orgasme la prit tout d ‘un coup . Elle se crispa contre le mâle et ne put retenir un cri de plaisir :
-” Salaud , tu me fais jouir , c ‘est chaud dans mon ventre Ta grosse pine de vicieux me fait jouir . On l ‘a fait , on a cocufié ce con de Philippe ( Philippe ; c ‘est moi , c ‘est mon prénom ) . ”
Lorsqu “ils furent remis de leurs ébats , c ‘est dans un grand éclat de rire qu ‘ils s ’emballèrent à nouveau . Puis Jean-Pierre , ayant repris le volant , déposa ma femme devant chez nous . Elle n ‘avait plus de culotte Jean-Pierre l ‘ayant gardée en souvenir . Lorsque j ‘entendis ma femme entrer , j ‘allais la voir et lui dit :
-” Tu as vu l ‘heure qu ‘il est ? C ‘est maintenant que tu rentres ? Où est – ce que tu étais passée ? ”
Elle me regarda et me répondit , un sourire narquois aux lèvres :
-” tu es cocu . ”
Je n ‘eus aucune réaction . J ‘étais abasourdi par ses paroles .
-” Tu es cocu , reprit-elle , Jean-Pierre m ‘ a baisé en forêt .”
Et pour bien me montrer que ce qu ‘elle disait était la stricte vérité , elle retroussa sa jupe . Je vis alors qu ‘elle n ‘ avait plus de culotte . Du sperme et de la mouille s ‘écoulaient encore de son sexe . Je sentis que je bandais .
-” Salope , ne pus-je m ‘ empêcher de lui dire . ”
Je m ‘approchais d ‘elle et tentais de lui toucher la chatte . Elle s’écarta de moi .
-” Non , je ne veux pas de ta sale bite en moi . Tu n ‘as qu ‘à te branler . ”
Je m ‘étais sorti la queue . Alors , je me mis à la supplier :
-“Je t’en prie Parvatee , laisse -moi te baiser , même rien qu ‘une dernière fois . Je t’en supplie , laisse-moi mettre ma pine dans le trou où l ‘autre à mis la sienne . Laisse-moi baiser dans son sperme , laisse-moi jouir dans son sperme . Je veux que mon foutre se mêle au sien . ”
Je tombais à genoux devant elle , je pleurais , je la suppliais . Ma femme m ‘écoutait , elle souriait en me voyant m ‘humilier face à elle . Elle regardait ma pine en érection . Enfin , elle s’allongea sur le canapé et me dit :
-“Ok , allez viens le cocu , viens tremper ta queue dans le foutre de ton ex beau-frère . Ce que je fis . Ce fut l ‘une des meilleures baises de ma vie . Je hurlais comme un porc à l ‘agonie lorsque j ‘éjaculais violemment dans le con de ma femme . Je venais de mélanger mon sperme à celui de mon ex beau-frère . J ‘étais cocu mais j ‘étais heureux . J ‘avais juté fort .