Serge de Pigalle , on l ‘avait surnommé ainsi car il était né à Pigalle d’une mère prostituée et avait toujours vécu dans ce quartier de Paris réputé pour sa vie nocturne , avait connu des débuts difficiles dans l ‘existence . Il était né nain et noir . Adolescent , il avait été rapidement attiré par les filles , le sexe avait été bien vite , pour lui , une obsession et il s ‘était rendu compte qu ‘il était un pervers sexuel . Il passait beaucoup de temps à se masturber en pensant aux trous que les filles dissimulaient sous leur petite culotte . Serge s ‘était aussi , bien vite , aperçu qu ‘il possédait une grosse bite , longue et bien épaisse . Cela avait fini par le servir dans sa quête d’aventures sexuelles . Il s ‘était fait dépucelé à 18 ans par une amie de sa mère , prostituée elle aussi et qui n ‘avait pu résister à son gros kiki . A partir de ce jour , Serge n ‘avait plus arrêté de baiser . Et les filles , qui autrefois se sentaient peu attirées par un nain , se découvraient finalement un amour immodéré pour lui lorsqu ‘elles apercevaient sa grosse queue .
A Pigalle , il s ‘était mis à fréquenter les milieux interlopes du quartier , maquereaux , putains , tenanciers de sex-shop , patrons de théâtres appelés pudiquement érotiques mais qui proposaient des spectacles pornographiques…A 19 ans , c ‘est donc tout naturellement qu ‘il avait trouvé un emploi dans un sex-shop . Il y officiait comme VRP, c ‘est à dire qu ‘il se déplaçait chez des particuliers afin de leur présenter les différents films pornos , les revues cochonnes et autres godemichets et gadgets sexuels que le sex-shop proposait à la vente . En parallèle de ce métier , Serge officiait aussi comme acteur dans des films cochons et sur la scène d ‘un de ces théâtres « érotiques » . Là , sa grosse bite faisait sensation .
Un beau matin ,Serge au volant de sa voiture se rendait dans une petite ville de la banlieue parisienne afin de présenter son catalogue aux habitants de cette bourgade . Il arrêta sa voiture face à une jolie maison isolée au bout d’un chemin qui menait à une forêt . Sortant sa mallette contenant les revues , dvds et autres objets sexuels , Serge alla sonner à la porte de la maisonnette .Après quelques minutes d’attente , celle-ci s’ouvrit sur une femme qui devait avoir une soixantaine d’années mais qui paraissait moins que son âge . Elle était encore très bien conservée . Blonde , parfumée , très maquillée , vêtue et coiffée avec beaucoup de recherche , on sentait en elle la bourgeoise dont les comptes en banque devaient être largement fournis . Serge , face à cette femme et grâce à l ‘habitude qu ‘il avait de la gent féminine avait tout de suite senti en elle la salope , la femelle qui aime le cul . Serge décida de passer à l ‘attaque et il se présenta :
« -Bonjour madame , je me présente Serge de Pigalle . Accepteriez-vous , madame , que je puisse vous présenter les articles que propose à la vente la société que je représente ? »
Etonnée par la présence de jeune nain noir devant sa porte , nain qui n ‘était pas laid par ailleurs , la dame le laissa entrer chez elle . Ils se retrouvèrent donc dans le salon de la dame . Celle-ci proposa à Serge de s’asseoir sur un canapé et elle vint se placer près de lui . Serge ouvrit sa mallette et la dame put alors apercevoir les revues , dvds et autres colifichets pornographiques que Serge promenait avec lui .
» Oh , fit la dame , mais ce ne sont que des objets cochons . »
« Oui , très cochons , très très très cochons, lui répondit Serge , je ne vous ai pas précisé que je suis représentant pour un sex-shop . »
La dame pendant cette échange lorgnait sur le contenu de la mallette .
» Mais , je vous en prie , lui dit Serge , prenez , regardez quelques revues cela ne coûte rien . »
La dame s ’empara d’une revue qui semblait concentrée toute son attention . Sur la couverture de celle -ci , une jeune , frêle et très belle asiatique subissait les assauts sexuels de deux colosses noirs .
» Oh mon dieu , s ‘exclama la dame en feuilletant la revue, ce n ‘est pas possible , toutes ces images sont fausses , comment une si fragile jeune femme pourrait-elle prendre en elle les zizis énormes de ces deux types ? Ces photos sont truquées . »
Mais , je vous assure que non , madame . D ‘ailleurs , j ‘étais présent lorsque ce film a été réalisé et les photographies effectuées . »
» Vous monsieur de Pigalle , vous étiez présent ? »
» Oui madame , vous savez ou plutôt vous ne savez pas encore que , en plus de mon job de VRP , je suis aussi acteur dans des films cochons . »
» Vous monsieur de Pigalle ! Oh , ce n ‘est pas possible . »
» Si , c « est la pure vérité . D ‘ailleurs la prochaine fois que je viendrai vous rendre visite je vous apporterai le dvd du film . Mais , en attendant , allongez-vous donc , vous serez bien mieux afin de feuilleter cette revue et de voir les belles photos qu ‘elle recèle . »
Tout en disant cela , Serge avait arrangé quelques coussins afin de servir d’oreiller à la dame . Puis la prenant par le bras , il l ‘allongea sur le canapé . Pendant que la dame continuait à s’absorber dans la contemplation des images de copulation , Serge en profitait pour trousser sa jupe . Bien vite la vieille cochonne se retrouva en petite culotte face à Serge qui commençait à bander . Il se rendait compte maintenant que la vieille était bien maigre mais il s ‘en foutait , l ‘important c ‘était le trou qu ‘elle avait entre les cuisses et puis de visage elle était encore bien jolie . Se rendant compte de ce qu ‘il lui arrivait , la dame se récria :
» Oh , monsieur de Pigalle , mais que faites -vous , vous avez retroussé ma jupe . Oh , je suis en culotte devant vous maintenant . Oh , ce n ‘est pas possible monsieur de Pigalle . »
» Allons , allons , calmez-vous et laissez moi faire , concentrez-vous sur votre lecture , voilà , regardez les belles images et laissez-vous faire . Serge avait maintenant entreprit d’ôter la petite culotte de la femelle . Il la porta à ses narines et la renifla longuement .
» Oh monsieur de Pigalle , vous avez enlevé ma culotte et maintenant j ‘ai la chatte à l ‘air devant vous ., et vous la reniflez en plus . Oh monsieur de Pigalle , vous êtes un vicieux . Mon dieu , mais vous mettez ma petite culotte dans votre poche . »
» Oui , cela me rappellera un bon moment plus tard et je pourrai toujours me branler en sentant l ‘odeur de votre trou d’amour . »
Serge , maintenant , écartait avec deux doigts le vagin légèrement poilu de la vieille .
» Oh , ce n ‘est pas possible , oh , mon mari , mon mari , voilà que vous m ‘écartez mon intimité . Oh , vous voyez tout maintenant , vous voyez toute ma grosse moule , à l ‘extérieur comme à l ‘intérieur . Et vous la reniflez , elle aussi . Oh , et maintenant , vous me la mangez , monsieur de Pigalle , vous êtes un bouffeur de minous . »
Effectivement , Serge , après avoir bien reniflé toutes les odeurs les plus intimes de la salope lui bouffait la chatte , enfonçant sa langue bien profondément dans le trou qui mouillait et lui tétant le clitoris . Il n en pouvait plus . Il bandait tellement fort que son sexe lui faisait mal . Finalement , il ôta son pantalon et son slip .
» Monsieur de Pigalle , vous êtes nu . Oh , je vois votre gros zizi noir tout dur . Mon dieu , il est énorme . »
» Oui et regardez mes grosses couilles , elles sont pleines . C ‘est vous qui avez rendu mon zizi tout dur comme ça et mes couilles aussi pleines . »
Tout en disant cela , Serge était monté sur la femme et lui ayant écarté les cuisses , il frottait sa bite contre le fente trempée de la vieille salope .
» Oh , monsieur de Pigalle , non il ne faut pas faire cela . Oh mon dieu , vous frottez votre gros zizi noir tout dur contre ma petite zézette blanche toute serrée . Oh mon dieu , mon mari , mon mari . Oh non , je suis une femme mariée , une femme honnête et vous allez penser que je suis une femme facile . Oh , je sais bien ce que vous voulez faire , c ‘était donc ça que vous vouliez faire depuis le début , vous voulez rentrer votre gros zizi noir tout dur dans ma petite zézette blanche toute serrée , et une fois que vous l ‘aurez rentré, vous allez le faire remuer dans ma petite zézette blanche toute serrée jusqu ‘à ce que votre gros zizi noir tout dur ne puisse plus se retenir et qu ‘il fasse pipi ses spermatozoïdes dans ma petite zézette blanche toute serrée . Oh monsieur de Pigalle , ce n ‘est pas possible , vous ne pouvez pas mettre votre gros zizi noir tout dur dans ma petite zézette blanche toute serrée . »
» Ah bon , et pourquoi cela ? seriez-vous raciste madame ? »
» Monsieur de Pigalle , s’écria -t-elle offusquée , mais pour qui me prenez-vous donc ? »
» Très bien , alors il n ‘y a pas de problème , mon gros zizi noir n ‘est pas raciste lui non plus . »
Ayant dit cela , Serge poussa et fonça sa pine dans le con brûlant de la cochonne .
» Oh monsieur de Pigalle , vous l ‘avez fait , vous avez enfoncé votre gros zizi noir tout dur dans ma petite zézette blanche toute serrée . Oh , je le sens en moi , il est si gros , il bouge en moi . Il est plus gros que celui de mon mari . Oh mon dieu , monsieur de Pigalle , oh , vous n ‘allez plus vous arrêter désormais , vous ne vous arrêterez que lorsque votre gros zizi noir tout dur aura fait pipi son sperme dans ma petite zézette blanche toute serrée . Oh mon mari , mon mari . Ce qu ‘il est gros votre zizi , tellement gros , il me ramone tellement fort . »
Le nain , accroché au cul de la vieille pute , la limait , la ramonait , la bourrait . Il défonçait bien fort la vieille chatte encore en chaleur . On entendait les gémissement du couple en train de copuler , les couilles durcies du nain qui tapaient contre le bas-ventre de la vieille et les clapotis que faisait sa bite en allant et venant dans la moule trempée et odoriférante . Après plusieurs minutes de baise intense , le nain n ‘en pouvait plus . Il sentait qu ‘il allait cracher le morceau .
» Ah , c ‘est bon , gémissait-il , c ‘est chaud , c ‘est bouillant , c ‘est bien étroit aussi . Ah , je vais bientôt juter . J ‘ai déjà mouillé dans votre chatte . Mon gros zizi noir va sous peu faire pipi ses spermatozoïdes dans votre grosse moule . Je ne peux quasiment plus me retenir , je sens que ça vient . Je sens déjà les premiers élancements annonciateurs du plaisir qui me traversent les couilles .
» Ah , monsieur de Pigalle , s ‘écria la vieille pute , je vous en prie , retenez-vous , retenez-vous encore un peu , je vais vous serrer . Oh , je ne peux pas faire autrement que de vous serrer . Oh , je me sens sale avec vous , oh vous me rendez sale monsieur de Pigalle . Oh , je vous serre maintenant . »
» Oui , serrez – moi . Serrez-moi vite , serrez-moi fort . »
Aussitôt la vieille referma le plus possible ses jambes autour des hanches du nain . Sous le mouvement de ses jambes , sa petite chatte se contracta et se resserra autour de la grosse bite noire qui lui faisait tant de bien . Le nain se mit à gémir et à besogner plus fort la moule qui l ‘enserrait . Il avait l ‘impression que sa bite était prise dans un étau . Finalement n ‘y tenant plus , il hurla :
« Ah , je viens , je ne peux plus me retenir . Vous êtes trop , vous êtes trop salope , je jute , mon gros zizi noir tout dur jute dans votre petite zézette blanche toute serrée . »
Il s ‘effondra sur la femelle , le corps secoué de spasmes , se vidant les couilles à longs jets crémeux dans le ventre de la salope .
» Ah monsieur de Pigalle , cria la vieille en sentant le foutre épais et gluant lui embourber les entrailles , ah vous le faites , ah c ‘est chaud dans mon ventre . Oh votre gros zizi noir tout dur le fait , votre gros zizi noir tout dur fait pipi son foutre dans ma petite zézette blanche toute serrée . Oh mon mari , mon mari , il est cocu ! Oh monsieur de Pigalle , vous l ‘avez fait , vous avez réalisé votre envie , vous avez fait pipi votre sperme en moi , vous avez laissé votre gros zizi noir tout dur faire pipi ses spermatozoïdes dans ma petite zézette blanche toute serrée .
Le nain affalé sur le ventre de la morue tentait de reprendre son souffle , épuisé par le coït violent qu ‘il venait de commettre . Il n ‘avait que très rarement juté aussi fort dans sa vie . La vieille salope continuait à soliloquer :
» Ah , j ‘ai joui monsieur de Pigalle , votre gros zizi noir tout dur m ‘a fait jouir . Ah monsieur de Pigalle , quel vicieux vous êtes . Oh mon mari , mon mari…