Nuit à l’hôtel avec une dominatrice

J’avais choisi cet hôtel exprès. Ni trop luxueux, ni trop impersonnel. Juste ce qu’il fallait de confort pour transformer une chambre banale en terrain de jeu intime. Le lit immense, draps blancs impeccables, éclairage tamisé. Dès que j’ai fermé la porte derrière lui, j’ai pris le contrôle. Il savait que ce soir, rien ne m’échapperait. Je l’ai fait asseoir sur le bord du lit, son souffle déjà court, ses yeux brillants d’anticipation. Je portais une robe noire moulante, assez longue pour cacher, mais assez fendue pour suggérer. Je n’ai rien dit au début. Le silence, mes gestes précis, suffisaient à installer ma domination. J’ai approché mon visage du sien, mes doigts glissant sur sa joue, puis, d’un geste sec, j’ai tapoté sa cuisse avec la badine que je venais de sortir de mon sac. Son frisson m’a confirmée qu’il était prêt. Je l’ai fait lever, tourner sur lui-même, lentement, comme une poupée que j’examine. J’ai tiré sur sa chemise, déboutonné un à un les boutons, sans me presser, jusqu’à dévoiler son torse. Je me suis rapprochée, j’ai planté mes ongles dans sa peau juste sous ses tétons, puis j’ai ressorti deux pinces brillantes. Je les ai posées sans prévenir, une sur chaque mamelon. Il a sursauté, les lèvres entrouvertes, et un gémissement étouffé est monté. Je l’ai giflé légèrement, juste pour lui rappeler qu’il n’avait pas à parler, qu’il devait simplement subir.

Je l’ai poussé vers le lit et il est tombé sur le dos. La vue de son corps offert, soumis, m’a électrisée. J’ai laissé ma robe glisser jusqu’à mes hanches, dévoilant ma poitrine nue, lourde, mes tétons dressés. Son regard s’y est accroché, mais je l’ai puni d’un nouveau coup de badine sur l’intérieur de la cuisse. Rougeur immédiate. Son sexe s’est tendu sous son pantalon encore fermé. Je l’ai forcé à lever les hanches et je l’ai débarrassé de son pantalon. Pas de douceur, juste l’efficacité d’une maîtresse. Son sexe s’est libéré, déjà gonflé, impatient. Je n’y ai pas touché. Pas encore. Je voulais que son excitation monte, que la frustration devienne douloureuse.

Je suis allée chercher le gode-ceinture que j’avais glissé dans ma valise. Noir, brillant, intimidant. J’ai pris le temps de le fixer à mes hanches, volontairement lente, sachant que ses yeux suivaient chaque geste. Puis je me suis assise sur son ventre, mes seins frôlant son visage, mais hors de portée de sa bouche. Mes doigts ont caressé la base de son sexe, juste assez pour le maintenir raide, jamais assez pour le soulager. Il se tordait sous moi, mais mes cuisses l’emprisonnaient. Je me suis penchée et ai fait claquer la badine sur son torse, une marque rouge supplémentaire. Ses gémissements emplissaient la chambre, se mélangeant au bruit feutré de la climatisation et à l’odeur de linge propre qui commençait à se confondre avec celle, plus animale, de nos corps.

Puis je l’ai retourné sur le ventre. Ses fesses offertes n’attendaient que mes ordres. J’ai caressé la courbe ferme, presque tendre, avant de lever la badine et de l’abattre en claquant, une fois, deux fois. Les traces rosées se sont dessinées, symétriques. J’ai passé ma main sur la peau chauffée, massant légèrement, puis j’ai laissé glisser mes doigts jusqu’à son intimité. J’ai craché dans ma paume et j’ai préparé l’entrée serrée, lentement, très lentement, jusqu’à ce qu’il gémi plus fort. Je me suis redressée, ai pris appui sur ses hanches, et j’ai enfoncé le gode en lui. Un cri sourd a traversé ses lèvres. Son corps s’est arqué, partagé entre douleur et plaisir. J’ai imposé un rythme régulier, ferme, chaque coup de reins faisant trembler le lit. Mes seins se balançaient, mes cuisses frappaient contre ses fesses rougies, et sa respiration devenait haletante.

Je l’ai pénétré longtemps, alternant cadence rapide et lente, tout en pinçant ses tétons toujours emprisonnés dans les pinces métalliques. Ses mains agrippaient les draps, ses gémissements montaient en vagues. Je l’ai senti proche, trop proche. Alors j’ai arrêté net. Je l’ai tiré par les cheveux pour qu’il se remette sur le dos, son sexe raide brillant de pré-sperme. Je me suis installée à califourchon sur son visage, l’obligeant à me goûter. Sa langue a plongé aussitôt, avide, cherchant mon clitoris, lapant mes lèvres gonflées. Je me suis frottée contre sa bouche, serrant mes cuisses autour de sa tête, l’étouffant presque. Ses soupirs vibraient directement sur mon sexe, et j’ai joui violemment sur sa langue, mes ongles griffant ses épaules, mes gémissements emplissant la chambre.

Quand je me suis relevée, son visage ruisselait de moi. Je l’ai laissé reprendre son souffle, puis j’ai repris son sexe en main. Je l’ai caressé lentement, le badinant encore de la pointe de la badine qui glissait du gland jusqu’à ses couilles serrées. J’ai resserré la prise de mes doigts, l’ai masturbé de plus en plus vite, le fixant du regard. Ses yeux cherchaient mon approbation, mais je n’ai rien offert, juste un sourire cruel. Au moment où il allait jouir, j’ai serré ses testicules dans ma main, stoppant net l’orgasme. Son cri rauque a résonné, mélange de frustration et d’extase retenue. J’ai répété le jeu deux, trois fois, jusqu’à ce qu’il supplie du regard, incapable de parler, tout son corps tremblant de tension.

Enfin, je me suis penchée, mes seins effleurant sa peau, et j’ai englouti son sexe brûlant dans ma bouche. Pas doucement, mais avec avidité. Ma langue tournait autour du gland, mes lèvres le serraient, et ma main pompait en rythme. Ses hanches se soulevaient, son torse se cambrait, ses gémissements n’étaient plus que des plaintes animales. Cette fois, je ne l’ai pas retenu. J’ai senti son sexe pulser, vibrer, puis jaillir. Son sperme a rempli ma bouche en plusieurs jets puissants. J’ai avalé tout, sans détourner les yeux, le fixant jusqu’à ce que son corps retombe, épuisé, vidé.

Je me suis essuyé la bouche, ai détaché les pinces de ses tétons, caressé les marques rouges laissées par la badine. Il respirait fort, encore sous le choc, mais un sourire étirait ses lèvres. Moi, j’étais calmée, satisfaite, et pourtant déjà prête à recommencer. J’ai rangé mes accessoires, me suis allongée nue à ses côtés, et ai soufflé à son oreille : « Ici, c’est moi qui décide. »

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