Je dois commencer ce récit par avouer que je suis ce que l ‘on appelle un obsédé sexuel . Pas un coureur de jupons, pas un dragueur, non, juste un obsédé sexuel .
Lorsque je croise une personne de la gent féminine qui me plait et m ‘attire, je ne peux m ’empêcher de penser au trou qu ‘elle a entre les cuisses, et à toutes les perversions sexuelles auxquelles je pourrais me livrer sur elle si cette femme acceptait d’avoir des rapports sexuels en ma compagnie .
Très tôt dans ma vie, je me suis branlé . À l’âge de 5-6 ans, je me frottais déjà le sexe contre des couvertures . J ‘appelais cela » faire cucul quétasse » . Déjà à cet âge j ‘avais de l ‘imagination . Biensûr, je ne jutais pas, je n ‘éjaculais pas de spermatozoïdes . Non, cela se terminait par quelques gouttes d’urine qui s’en venaient souiller mon slip, et je me souviens que cela me procurait du plaisir .
Dans mon souvenir, j ‘ai éjaculé réellement pour la première foisà l ‘âge de 12 ans .
À l ‘époque, je me masturbais en pensant à mes petites copines d’école, de jeux, aux femmes de ma famille, à celles que je croisais dans ma vie de tous les jours. Et, bien sûr, en premier lieu je me branlais en pensant à celle avec qui je passais le plus de temps, celle qui m ‘avait donné la vie : ma jolie maman .
Les années passant, j ‘ai continué à fantasmer sur ma mère . Le plus souvent possible je matais ses fesses, ses jolies jambes toujours gainées dans des bas ou des collants . J ‘essayais souvent de voir sous ses jupes, tentant d’apercevoir sa petite culotte, ce léger bout de tissu qui était l ‘ultime rempart face à mon désir le plus impérieux : voir la chatte de ma maman . Cette chatte que je devinais chaude, douce et humide .
Dans mes rêves, je me voyais gamahucher ma maman .
C ‘est à cette époque que j ‘ai aussi commencé à me masturber dans ses petites culottes . J ‘attendais que ma mère aille déposer ses petites culottes sales dans le panier à linge pour les emporter dans ma chambre . Là, dans l ‘intimité et le secret de cette pièce qui m ‘était réservée, je reniflais longuement les sous-vêtements de ma maman . J ‘en humais toutes les odeurs les plus intimes . Alors, je bandais fort à en faire craquer la braguette de mon pantalon . N ‘y tenant plus, me remplissant les narines des senteurs fortes de la féminité de ma mère, je me branlais jusqu ‘à l ‘éjaculation .
Durant cette branlette, je me plaisais à imaginer différents scénarios lesquels, invariablement, se terminaient par la soumission de ma mère à tous mes désirs sexuels . Dans ces situations, je pouvais alors pénétrer sa grotte intime, son trou d’amour . Ce trou qui m ‘avait pondu et par où j ‘étais venu à la vie . Il me semblait, dans ces songes, ressentir la douceur, l ‘étroitesse et la moiteur de son sexe, sexe que je pilonnais de mes puissants coups de queue . La vision en était si forte qu’elle me troublait l ‘esprit et que j ‘avais presque la sensation de baiser celle qui m’avait mis au monde .
Lorsque je sentais la décharge arriver et que je ne pouvais plus me retenir, je me couvrais la bite de la culotte maternelle et je pissais tout mon foutre gluant et épais dans le slip féminin. Je le souillais de toute ma semence, fruit de cet amour incestueux pour ma mère, amour incestueux qui me dévorait le cœur .
La jouissance était alors si intense qu ‘elle me laissait pantelant et sans forces aucunes durant plusieurs minutes .
Aujourd’hui, ma maman a 52 ans et elle est toujours ravissante . Je fantasme toujours sur elle et sur son sexe .
Je ne suis jamais passé à l ‘acte . Je n ‘ai jamais osé lui avouer que je l ‘aimais et que je rêvais, que je rêve toujours, de lui faire l ‘amour .
Chaque fois que je me rends chez mes parents, je lorgne toujours sur les charmes et les rondeurs féminines de ma maman .
Lorsque mes parents s’absentent de chez eux pour des vacances, ils me confient les clés de leur appartement . J ‘en profite alors pour chercher, dans l ‘armoire où ma mère range ses sous-vêtements, les culottes de ma génitrice et je me masturbe dedans, sauçant de ma semence les culottes de ma douce maman . J ‘ai même réussi à lui en dérober une qu ‘elle avait déposé dans le lave-linge . Elle exhalait encore les odeurs fortes du sexe de ma mère . Ainsi, seul chez moi, je pouvais juter fort en reniflant les effluves sexuelles de ma maman .
Je sais que je ne ferais jamais l ‘amour à ma mère . Je n ‘aurai jamais le courage de lui avouer mon attirance pour elle . Cela demeurera un rêve inaccessible . Je mourrai avec cette envie en moi, ce désir inaccompli . Toute ma vie n ‘aura été qu ‘un long complexe d’Oedipe . Je mourrai avec cette blessure au cœur de ne jamais avoir accompli avec ma mère l ‘acte d’amour, l ‘acte d’amour le plus fort qu ‘une mère et son fils puissent partager . Un amour vrai, entier et total, celui d’une mère et de son fils unis dans cet acte d’amour pur et ultime . Un acte sexuel incestueux, tabou, condamné par toutes les sociétés, mais la plus belle preuve d’amour d’un fils et de sa mère .