Bonjour, je suis Annie, femme mariée, 52 ans. Me revoilà pour une autre petite histoire coquine qui vient de m’arriver. J’espère qu’elle vous donnera des idées.
Je dois vous dire que ça s’est passé récemment, courant octobre. C’était une journée assez humide, une journée normalement tranquille où je n’avais qu’à attendre la visite du chauffagiste pendant l’absence de mon mari pour la révision de la chaudière.
Je ne savais pas à quelle heure exactement, dans la matinée entre 9 h et 12 h. Sauf
Il est arrivé trente minutes en avance, à 8 h 30, j’ai entendu sonner encore dans mon lit, surprise : je suis vite descendu pour ne pas rater le rendez-vous pour aller ouvrir, je n’ai même pas pris le temps d’enfiler mon peignoir. Tellement paniqué quand j’ai ouvert la porte, je ne me suis pas rendu contre que j’étais en petite nuisette noire complètement transparente du haut en bas quand j’ai ouvert la porte. Mais trop tard, quand j’ai vu son regard, j’ai compris qu’il matait mes seins du 115 D et ma chatte légèrement poilus.
Mais il était tout pardonné d’avance : après m’avoir sorti du lit, j’avais devant moi un bel étalon, brun, yeux marron, 1 m 85 pour 80 kg environ, métisse entre 25/30 ans. De quoi rêver malgré mes 52 ans. Il s’est présenté, je l’ai fait entrer et il s’est tout de suite mis au boulot. Je lui ai posé quelques questions sur le fonctionnement de la chaudière, de quoi entamer la conversation. Il me répondait et il essayait de plaisanter en même temps, et j’ai fait à mon tour quelques plaisanteries du genre.
« Vous allez ramoner ».
Quand il a fini son travail, je lui ai proposé de boire un café, il a accepté sans la moindre hésitation. Il s’est assis à côté de moi et faisait en sorte que je sente qu’il était de plus en plus proche en posant sa main sur mon épaule ou ma cuisse quand il balançait une vanne, comme un bon pote pourrait le faire. Ce n’était pas vraiment désagréable, je me suis donc laissé draguer et j’entrai dans son petit jeu.
Il commençait à se rendre compte qu’il ne m’était pas indifférent. Il a décidé de prendre les choses en main, il s’est approché et m’a embrassé ; un peu surpris, j’avoue, mais j’avais décidé de me laisser aller à un peu de plaisir. Je me suis levée et me suis assise sur ses genoux. J’ai commencé à mettre mes mains partout, je lui ai retiré son pull puis son tee-shirt. Moi toujours en petite nuisette et rien d’autre.
Il m’a demandé où était la chambre, je ne lui ai même pas posé la question pourquoi faire que je lui ai pris la main et nous sommes montés. Arrivés dans la chambre conjugale, il m’a poussé sur le lit, s’est déboutonné puis a retiré son pantalon et le boxer qu’il portait. quand j’ai aperçu ce qui a libérer du boxer c’était énorme
Il s’est mis à me lécher un peu partout en se masturbant, c’était trop bon !
Puis d’un coup assez sec, il m’enfonça sa grosse bite. Il freinait, accélérait, il la sortait pour la remettre aussi sec.
Je gémissais tellement, c’était tellement bon, et j’entendais sa respiration de plus en plus forte. À un moment, il m’a dit de me mettre au bord du lit ; je me suis exécutée. Une fois au bord, j’ouvris bien grande la bouche et, en se branlant devant moi, j’ai reçu d’un coup une giclée de sperme sur le visage et dans la bouche. J’ai ensuite fait en sorte avec mes doigts de tout récupérer pour tout avaler, puis je l’ai sucée.
Nous avons remis ça un petit moment après, il m’a allonger sur le lit en position missionnaire il m’a bien relever les fesses je n’ai pas résister bien au contraire je me suis écarter le plus possible, pour qu’il puisse aller au plus profond en moi et il m’a enfoncer sa grosse bite 24×6 d’un coup sec dans ma chatte encore humide, il sortait pour me la remettre de plus en plus rapidement jusqu’à je lui exprimé ma jouissance et le plaisir qu’il me donnée j’ai adoré se moment et je lui est demandé de ne pas arrêter que c’est trop bon je lui et demander d’aller jusqu’au bout, et de surtout ne pas se retirer je n’ai pas ut le temps de finir quand il a giclé son sperme au fond de ma chatte, il venait de tous éjaculer et pas qu’un peu, il est resté un moment planter en moi comme un chien avec une femelle en m’avouent que j’ai une grosse salope qui ne demande que ça, j’avoue qu’il n’avait pas tort, oui j’attendais que ça.
nous sommes restés quelque temps enlacer à s’embrasser à jouer avec nos langues, se caresser avant qu’il se retire complètement, avant de me demander après l’avoir une nouvelle fois bien exciter de venir m’empaler sur sa bite qui avait repris toute sa raideur je n’ai pas ut le temps de dire quelque chose quand j’ai senti sa grosse bite a l’entrer de mon petit trou cul oui j‘aller me faire enculer profondément sans ménagement, j’ai hurler le supplient d’arrêter mais il avait trop envie de m’enculer je n’ai pas réussi a le faire changer d’avis quand j’ai commencé à sentir se bite me pénétré mon trou cul, j’avais les larmes aux yeux tellement que ça faisait mal mais les 24 cm son renter jusqu’au couilles, mais la douleur c’est vite estomper quand il a commencé ses va-et-vient, dans mon cul de plus en plus fort en titrant mes cheveux en me disant tiens prends sa salope t’aime ça tu es vraiment qu’une pute en faîte, pendant que je sentez le plaisir m’envahir je ne savais pas que j’aurai joui par le cul j’ai vraiment aimer sa c’est très jouissif à refaire avec grand plaisir, malgré une pénétration douloureuse j’ai passé une belle matinée nous sommes redescendu nous avons repris un café pendant qu’il remplissez les papiers je me suis occuper à le branler avant de la prendre une nouvelle fois en bouche en espèrent recevoir une bonne éjaculation ce qui n’a pas manquer après l’avoir bien sucé pendant un bon moment un régal nous avons échanger nos coordonner, je pense que la chaudière va souvent être en panne, je n’ai rien dit à mon mari de cette agréable matinée. Je ne regrette pas du tout d’avoir cocufié mon mari, je suis prête à recommencer. Vivement la prochaine révision, à moins qu’il m’appelle ou que je demande une nouvelle intervention pour passer ou qu’il envoie un collègue pour ramoner.